Sans la moindre caresse, Malko bandait déjà comme un cerf. D’un genou il écarta ses cuisses, prêt à s’enfoncer en lui. Mais, se ravisant, il le prit par les hanches et le fit pivoter et, d’un geste précis, plongea dans ses reins d’un trait. L’homme poussa un soupir rauque.

Malko se retira et replaça son membre sur la corolle brune. D’un élan puissant, il s’enfonça à nouveau dans ses reins d’un coup, arrachant un cri au jeune homme.

Plongé dans sa croupe jusqu’à la garde, le sang aux tempes, Malko saisit ses hanches et se lança dans un va-et-vient échevelé, qui s’acheva par un cri sauvage quand il se vida en lui…